L’instance nationale a dénoncé des «mensonges» samedi 26 août, après les propos de la joueuse Jenni Hermoso qui s’est dite la veille «victime d’une agression» de la part du président Luis Rubiales.
La Fédération nationale de football (RFEF) a qualifié ce samedi 26 août de «mensonges» les accusations portées contre son président Luis Rubiales pour son baiser forcé sur la joueuse Jenni Hermoso en finale du Mondial. Malgré l’énorme polémique, Rubiales refuse de démissionner.
La fédération a en outre indiqué qu’elle allait «engager des procédures judiciaires» pour défendre la version de son président qui a refusé de démissionner vendredi 25 août, et qui estime que ce geste était «consenti».
En poste depuis 2018, l’ancien défenseur s’est lancé dans une contre-attaque, fustigeant le «faux féminisme» ainsi qu’une «tentative d’assassinat social» à son encontre.
De plus, la fédération affirme que les joueurs ont l’« obligation » de représenter l’équipe nationale, en réaction à la décision de 81 joueurs ayant signé une lettre déclarant qu’ils refuseraient les convocations de l’équipe nationale tant que Rubiales refusera de démissionner.
Les 23 championnes du monde espagnoles refusent de jouer pour l’Espagne sous la direction actuelle.
Source : libération.fr, actu-foot
La rédaction
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