En Haïti, il existe une fédération pour les sports les plus populaires dans le monde. Certaines, toutefois, n’existe que de nom et n’ont jamais organisé une compétition. Il n’est donc pas étonnant que la majorité des Haïtiens n’aient jamais entendu parlé d’elles. Pour eux, le football demeure le seul sport d’intérêt. Leur enthousiasme transcende d’ailleurs les championnats nationaux ou les rencontres internationales de la sélection nationale. Ils manifestent une faveur égale pour les rencontres des championnats des fédérations de football latino-américaines ou européennes. Ils connaissent dans les moindres détails la vie de leurs joueurs-idoles de calibre international avec statistiques à l’appui.
En Haïti, il n’est pas étonnant de voir une foule très animée autour d’un terrain improvisé oú se joue une partie de football. Et la coupe du monde qui se joue chaque quatre ans est d’une telle importance que le gouvernement et le monde des affaires doivent en tenir compte et considérer l’horaire de certains matchs dans leur programmation et plans.
A côté du football, le sport-roi, les Haïtiens pratiquent, sur une moindre échelle et surtout au niveau académique d’autres sport, tels le volleyball, le basketball etc.
Jusqu’à tout récemment, le baseball a été le grand inconnu. Ce sport fut longtemps associé à l’occupation américaine, époque de grands traumatismes pour les patriotes Haïtiens. Haïti demeurait donc le seul pays des à être occupé par les Américains qui résista résolument à la pratique du baseball, pourtant ce sport est à l’extérieur celui du big buck, d’oú l’attirance de certains membres de l’élite qui s’allient à des dominicains pour implanter ce sport en Haïti. Le succès se fait encore attendre. https://www.haiti-reference.info/pages/plan/sports-et-loisirs/sports/